Love Hina - Tome 1

Il fallait bien que je lise cette série après toutes les choses que j'avais entendu d'elle. Je me suis emparée du premier tome dans un magasin d'occasion et de retour chez moi, j'ai ouvert ce manga impatiente! Je ne savais pas encore à quoi m'attendre précisément avec cette jaquette.

Quatrième de couverture:

" Urashima Keitaro vient de rater pour la troisième fois son examen d'entrée à l'université de Todai. Comme ses parents n'ont plus assez d'argent pour le nourrir, il doit partir se trouver un travail. Heureusement, sa grand-mère lui lègue sa place de responsable dans une pension de famille occupée par des jeunes filles toutes plus excentriques les unes que les autres. Keitaro va -t-il réussir à concilier son travail avec sa vie d'étudiant ? Comment va-t-il réagir face à toutes ces jeunes filles, et surtout, arrivera-t-il à tenir la promesse qu'il fit à une petite fille de son âge de rentrer ensemble dans cette prestigieuse université afin de couler des jours heureux? "

Un peu plus...

Keitaro est déterminé à entrer à l'université de Todai, la plus réputée (et difficile d'accès) de Tokyo, au Japon.

On sait dès le commencement que c'est suite à une promesse quand il était un jeune garçon. Il doit retrouver quelqu'un qu'il n'a plus vu depuis la primaire, et garde, malgré ses désastreuses capacités, un élan de positivité inébranlable.

Alors que ses parents le mettent à la porte, il doit se résoudre à finir son année dans le pensionnat de sa grand-mère. Arrivé à Hinata, Kei a alors la surprise de découvrir après plusieurs péripéties qui auront pour conséquence de donner une image d'obsédé de notre protagoniste aux pensionnaires, que le bâtiment est exclusivement habité par des filles.

Les circonstances sont telles que son avenir et ses ambitions sont menacées. Keitaro commence ainsi dans une situation délicate dès le premier tome. La chance lui sourit et les filles l'acceptent en partie, mais à quel prix?

Et les personnages?

C'est surtout ce qu'il y a dans ce manga... Des personnages! Une majorité de filles cependant, dû au choix du décor: un pensionnat pour filles reste facilement un lieu typique des mangas. On peut déjà apprécié la qualité de Midori, plus franche on ne fait pas. Les petites moues de la mignonne Shinobu valent le coup d’œil et à la fin, nous pouvons apercevoir le côté protecteur d'Aoyama.

Ma note: 6/10.

Je me suis amusée à parcourir Love Hina. Un premier tome réussi, je n'attendais rien de bien spécial pourtant cette introduction m'a comblée. J'avoue avoir été charmé par les personnages, Ken Akamatsu sait nous faire sourire des situations grotesques dans laquelle son héros se retrouve.

A la lecture, il y a un mouvement juste d'enchaînement d'évènements, le lecteur peut tourner les pages sans s'ennuyer et le tome se finit naturellement avec un petit rebondissement pour le suspense de la suite. Une formule classique de manga pour filles, presque innovée par l'auteur cette fois.

Bonne lecture!